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Trop sensible, trop perdue : ce que j’aurais aimé qu’on me dise à 17 ans

  • Photo du rédacteur: Delphine
    Delphine
  • 15 juil.
  • 2 min de lecture

À 17 ans, je me sentais souvent “trop”.


Trop émotive, trop lente, trop dans ma tête.


Je ne comprenais pas mon corps, ni pourquoi je me sentais si différente.


Je voulais bien faire, mais je ne savais pas comment être bien.


Je ressentais tout, tout le temps… sans savoir quoi en faire.


Aujourd’hui, en tant que professionnelle de santé formée à la nutrition et à la naturopathie, je reçois des personnes qui me ressemblent.


Et si tu es — ou si tu as été — cette personne en décalage, en quête de repères, peut-être que ces mots te parleront


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Ce n’est pas toi qui es trop,

c’est le monde qui va trop vite


Ta lenteur n’est pas un défaut


C’est une autre manière de ressentir, de comprendre, de vivre


Il y a de la justesse dans ce besoin de ralentir


On ne t’a pas appris à le reconnaître, mais ce n’est pas un bug


C’est une forme de sagesse


Tu n’es pas cassé.e, tu es sensible


Quand on ressent tout plus fort — les émotions, le bruit, le vide, l’inconnu on peut croire qu’on est instable


Mais cette sensibilité est aussi une richesse et personnellement, j'ai mis beaucoup de temps à comprendre que j'étais, moi, Delphine, hypersensible


Elle demande des repères, des rythmes, de la douceur


Ton corps n’est pas le problème: il essaie de te parler


À 17 ans, j’aurais aimé comprendre que les maux, les blocages, les variations d’appétit ou d’énergie n’étaient pas des ennemis


Mais des messages du corps et/ou à écouter avec bienveillance


À accueillir, sans jugement


Tu n’as pas besoin de tout savoir maintenant


On te pousse à choisir vite, à aller droit


Mais se sentir perdu·e, c’est parfois ce qui permet de se retrouver


Tu n’as pas besoin de savoir exactement qui tu es


Tu peux prendre le temps d’explorer, à ton rythme


La douceur n’est pas de la faiblesse:

c’est une force profonde


Être doux avec soi, c’est un acte de solidité


Choisir des repères simples, des gestes de soin, des routines respectueuses de ton rythme : c’est du courage


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🌱 Pour aller plus loin


Si tu te reconnais dans ces mots, sache qu’il existe des outils simples, à explorer par toi-même


J’ai réuni pour cet été quelques propositions douces, à faire chez soi, à son rythme


Des pistes pour ralentir, se recentrer, se reconnecter à soi


🟢 Ce n’est pas une consultation, ni un programme thérapeutique

Juste un espace de ressourcement personnel, accessible à toutes et tous

👉 [Découvre l’espace d’exploration estivale ICI]


💬 En conclusion…

À 17 ans, je ne savais pas que ma fatigue cachait une richesse


Je ne savais pas que ma sensibilité était une hypersensibilité et que celle-ci me guiderait

Je ne savais pas que la douceur deviendrait mon socle


Si tu lis ces lignes et que ça résonne… Peut-être que toi aussi, tu es en train de revenir à ce qui compte vraiment


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🌿 L’écoute de soi est un chemin doux mais puissant


 Le corps comme boussole.

L’intuition comme phare.

La douceur comme chemin.


Delphine


📝 Mentions importantes

  • Ce texte est une réflexion personnelle à visée d'information et de sensibilisation

  • Il ne remplace en aucun cas un suivi médical ou psychologique

 

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