Pourquoi 70 % assiette et 30 % mouvement doux suffisent pour rééquilibrer son énergie
- Delphine

- 30 sept.
- 2 min de lecture
On croit souvent que l’énergie se retrouve dans une salle de sport ou dans un programme compliqué.
La vérité est plus simple, presque évidente : 70 % de notre vitalité dépend de ce que nous mettons dans notre assiette, et seulement 30 % du mouvement doux que nous pratiquons au quotidien.

Cette règle n’est pas un slogan marketing. C’est un constat issu de la physiologie, de l’expérience clinique et de l’observation des personnes qui parviennent à retrouver une énergie stable et durable.
Et vous allez voir pourquoi.
70 % dans l’assiette : la base invisible de l’énergie
L’énergie que nous utilisons chaque jour ne tombe pas du ciel. Elle se fabrique dans nos cellules, grâce à ce que nous mangeons.
👉 Quand l’alimentation est :
trop riche en sucres rapides → on vit en montagnes russes (pics et chutes d’énergie),
trop pauvre en protéines et fibres → on manque de stabilité et de satiété,
trop déséquilibrée en micronutriments (magnésium, fer, vitamines du groupe B) → le moteur cale.
Résultat : fatigue chronique, humeur instable, digestion lourde, hypersensibilité amplifiée.
À l’inverse, quand l’assiette est structurée, simple et adaptée, elle agit comme une fondation.
C’est 70 % du travail déjà fait.
C’est là que je rejoins l’idée de Napoleon Hill : “Toute réussite repose sur des bases solides”.
L’assiette, c’est votre base.
30 % dans le mouvement doux : l’ancrage qui complète
Le sport intense n’est pas obligatoire pour rééquilibrer son énergie.
Au contraire, chez une personne stressée ou fatiguée, il peut même aggraver l’épuisement.

Le mouvement doux — marche, vélo tranquille, étirements, yoga, respiration — agit comme une activation douce de la circulation, de la digestion et du mental.
👉 C’est lui qui permet :
d’oxygéner les cellules,
d’apaiser le système nerveux,
d’ancrer le mental dans le corps,
de réguler l’humeur grâce aux endorphines.
C’est la touche finale, les 30 % qui permettent à votre énergie de circuler et de ne pas rester bloquée.
L’équilibre 70/30 : pourquoi c’est suffisant
Dans un monde où l’on croit qu’il faut toujours « plus » (plus d’efforts, plus de régimes, plus de performance), le 70/30 est une stratégie de simplicité efficace.

C’est une approche durable : vous n’avez pas besoin d’un marathon ou d’une cure compliquée, mais de constance dans vos repas et dans votre mouvement.
C’est enfin une voie de réconciliation avec soi : on ne lutte pas contre son corps, on l’accompagne.
Votre assiette, c’est votre structure.
Votre mouvement, c’est votre respiration.
Ensemble, ils forment une équation simple et puissante : énergie = stabilité + fluidité.
Ce n’est pas une théorie abstraite.
C’est une méthode que j’applique chaque jour dans mes accompagnements de diététicienne-naturopathe : revenir aux fondamentaux, guider les personnes sensibles et dispersées vers plus de clarté, plus de stabilité, plus de vitalité.
Si vous sentez que votre énergie part dans tous les sens, inutile de vous épuiser dans des solutions compliquées.
Commencez par regarder :
70 % dans votre assiette → structure, équilibre, régularité,
30 % dans votre mouvement doux → ancrage, oxygénation, sérénité.
C’est souvent suffisant pour relancer le moteur et retrouver une énergie stable.
Et si vous voulez aller plus loin, être accompagné(e) pour structurer votre alimentation et comprendre vos besoins uniques, c’est mon métier.




